Un banquier sauve la France olympique en 1912

Sport et argent…

Dans l’optique des Jeux Olympiques de Stockholm, en 1912, le gouvernement avait prévu 100000 francs pour financer le voyage de la délégation française. Mais les responsables politiques, malgré les appels de Pierre de Coubertin, considéraient le sport comme chose secondaire, et la somme ne fut jamais débloquée. Finalement, le banquier Louis Minvielle, président du C.A.S.G., dut avancer une somme importante pour que les athlètes puissent rejoindre Stockholm, en train puis en ferry-boat. Sport et argent feront par la suite bon ménage…

©Pierre LAGRUE


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