Écrivain belge
Maurice Bladel mérite mention au titre de l’olympisme inattendu car il obtint, en 1920 aux Jeux d’Anvers, une médaille de bronze, dans le cadre des «concours d’art et littérature» chers à Pierre de Coubertin, dans la catégorie «littérature» pour Louange des dieux. Cette année-là, la médaille d’or revint à un écrivain mineur italien, Raniero Nicolai, la médaille d’argent à un auteur britannique beaucoup plus connu, Theodore Andrea Cook. Maurice Bladel n’a guère connu la gloire, et son œuvre la plus célèbre demeure L’Œuvre de Georges Eekhoud (1922).
©Pierre LAGRUE